LE SALON DU LIVRE DE BUSSY-SAINT-GEORGES
Cette seconde édition du Salon du livre de Bussy a eu lieu le samedi 1er février 2020.
L’organisation était impeccable, tout était parfaitement en place pour recevoir les 240 auteurs, illustrateurs, éditeurs invités à cette manifestation.
Avec beaucoup de plaisir, j'y ai retrouvé mes copains et copines.
David Bry auteur de, entre autres :
Que passe l’hiver
Le garçon et la ville qui ne souriait plus
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Mon amie Noémie Delpra était présente, l’autrice de :
Les larmes de Jundur - Tome 1 - Voyageuse
Les larmes de Jundur - Tome 2 - Duelle
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Nous échangions sur le Net et j’ai enfin rencontré la délicieuse Linda Dasilva, autrice de :
Le café des délices - Tome 1 - Rencontre
Le café des délices - Tome 2 - De respirer j’ai arrêter
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Heureusement que Jean Viegas Pires était assis à côté de moi car nous avons bien ri !
Jean est l’auteur de :
Un dernier regard, roman
Poèmes à Quatre Mains, recueil de poésies coécrites avec Françoise Pariente Ichou
Flâneries poétiques, recueil de poésies illustré de ses aquarelles et de ses photos
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Étaient présents aussi de nombreuses maisons d’édition, dont Ella Éditions ainsi que les Éditions Fiacre, de Montceaux-les-Meaux..
Les échanges avec des éditeurs m’ont beaucoup apporté. En tant qu'autrice indépendante, je suis seule face à toutes les décisions. Échanger avec des professionnels est très intéressants, surtout que ceux présents sur les salons de banlieue sont des éditeurs encore passionnés par leur métier.
Néanmoins, j'ai été très surprise par les visiteurs et leur comportement que je n'avais jamais observé sur d'autres salons.
La moitié seulement répondait à nos bonjours dont la plupart ne répondaient que du bout des lèvres, méfiants, pensant certainement que nous voulions les harponner, les mordre ou je ne sais quoi d'autre...
Surprenant...
Les salons sont là pour échanger, parler avec les gens, faire des rencontres. Je passe la majorité de mon temps seule dans mon bureau à écrire ou à faire ma promo, les salons sont des moments de convivialité beaucoup, beaucoup plus que de vente.
Si on ne veut pas entrer en contact avec les écrivains, pourquoi donc aller sur un salon du livre ?
Par chance, une petite poignée de visiteurs semblaient s'intéresser aux êtres humains que sont les auteurs et leurs sourires ont été les bienvenus.
Heureusement que mes amis et voisins étaient là, déçus eux aussi par ce peu de communication , et que je suis rentrée avec moins de livres et surtout de nouveaux contacts qui promettent des échanges sympathiques.
J'ai hâte de vous revoir au salon des écrivains de Rebais, le 8 mars.
Un grand merci aux organisateurs du salon qui ont fait du très beau travail !