Première chronique pour “Kisinio Mauré” par le blog Livrement-Ka !
Mille mercis, Karine,
pour cette première chronique de “Kisinio Mauré” !
22 Février 2020
Vous pouvez lire la chronique de Karine sur son blog Livrement-Ka.
Kisinio Mauré
Couverture :
Sarah Wodling, graphiste
Laurent Morville, artiste peintre
Crédit photo de fond : Jannislontheo de Pixabay
Après avoir lu Comme une pierre, du même auteur, je me suis lancée dans le deuxième tome.
Ravie de retrouver les personnages qui m'avaient émue.
Aujourd'hui nous suivons Kisinio dans sa fuite avec Ina sa femme et leur bébé Georges. Après avoir assisté au meurtre de son patron et avoir récupéré à son insu une clé usb contenant de nombreux indices pouvant mettre à mal une organisation illégale, ce dernier a fait appel à Georges son père d'adoption pour l'aider à fuir la Guyane.
Mais les événements ne se déroulent pas comme prévu.
Encore une enquête qui va devoir être menée par le Commandant Vanessa LIVERS et son équipe, au sein de laquelle tout n'est pas toujours rose.
Artiste : Anne Abgot
L'auteure va nous entraîner dans un périple entre la Guyane et la France à bord d'un cargo et entouré de personnes liées par l'amitié avec un grand A.
Georges et sa petite équipée savent qu'ils pourront compter sur leurs amis autant en Guyane qu'en France mais que l'aventure sera difficile néanmoins.
L'écriture est fluide et la lecture agréable. On s'attache aux personnages qui tous à leur manière vont démontrer qu'ils sont capables de beaucoup de choses pour aider leur prochain.
Pour être vraiment à l'aise dans la lecture je conseille d'avoir lu le premier tome. De nombreux rappels sont présents dans ce deuxième tome, et la lecture n'en est que plus plaisante.
Quant à l'intrigue elle est bien ficelée et l'histoire bien construite. Pas de fioritures, pas de descriptions inutiles, l'auteure va à l'essentiel pour faire passer son message et apporter de la force au roman. Le tout agrémenté de nombreux chapitres pour accentuer le rythme de l'histoire.
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Mon ressenti : Un deuxième tome qui confirme le talent de l'auteure.
Le petit plus : Le voyage entre la Guyane et la France dans un Cargo.
Artiste : Marie Lucie Gedon
Petite histoire sur l'auteure
Éprise de littérature depuis toujours, Laurence Varaine-Jarnac a beaucoup écrit avant de publier son premier roman policier « Comme une pierre » en tant qu’autrice indépendante.
L’auto édition lui permet de proposer son livre à un prix accessible à tous ainsi que d’adapter « Comme une pierre » aux déficients visuels, en collaboration avec Alban Tessier.
Née avec la musique, petite fille d’un hautboïste chef d’orchestre et d’une violoniste, certains de ses personnages seront musiciens.
Sur le bateau de son père amoureux de voile, elle a navigué le long de toutes les côtes de France, aussi ses romans se dérouleront-ils en partie au fil de l’eau.
Sa mère, artiste textile, lui a offert le plaisir d’apprendre en l’initiant à ses savoir-faire, elle s’est passionnée pour la pédagogie et a longtemps enseigné avant de se consacrer entièrement à l’écriture.
Ses trois enfants swinguent sur sa guitare jazz et la contrebasse de leur papa, ont quitté le nid, mais reviennent souvent pour mettre du bazar partout dans la maison en faisant les fous avec le chien Timon !
Originaire du Bassin d’Arcachon, Laurence Varaine-Jarnac vit depuis une trentaine d’années dans la région de Meaux.
Quatrième de couverture :
Sa fuite éperdue lui permettra-t-elle de préserver les siens du danger ?
Une chaîne de solidarité s’organise.
Le long des fleuves et des rivières, d’un bord à l’autre de l’océan, au péril de leurs vies, les uns et les autres tentent de protéger Kisinio et sa famille.
Mais ils sont sur leurs traces, les suivent sans relâche.
Une nouvelle enquête s’ouvre pour la commandante Vanessa Livers et son équipe.
